I Fight To Keep You (PV Dylan)

J'ai quitter les lieux, j'étais désorienter. J'avais mal, mais je ne l'avouerais pas je serrais les dents, bien que ma mâchoire me fasse mal. Je ne m'avouerais pas vaincu, je le détruirais comme il veut me détruire, si se n'est pas par la force j'utiliserais d'autre moyen, mais il ne me volera pas mon Dylan. J'ai pris la voiture conduisant prudemment. Normalement Dylan ne devait pas être présent aujourd'hui, il m'avait parlé de quelque chose de prévu, ceci m'arrangeais car s'il me voyais dans cette état il allait lui falloir des explications que je ne veux pas lui donner, quoi que j'avais déjà un plan bien monter dans ma tête pour tourner la situation une nouvelle fois en mon avantage. Je vais faire en sorte qu'il le déteste ou un truc du genre, il ne faut pas que Dylan sache, je ne veux pas le perdre. Je vais devenir encore plus fou que je ne le suis déjà si cela arrive et je ne sais pas se que je pourrais faire …

Malheureusement, il était bien présent sur place, faut dire que j'aurais du aller à l'hôtel, ceci n'aurait pas fait de vague, je ne peux plus faire demi tour il a vu la voiture se garer dans l'allée et je sais parfaitement qu'il m'a entendu. Je grogne pour le forme et tente de remettre en place mes vêtements taché de sang, que se soit celui de Tyler ou le miens d'ailleurs. Je rajuste ma veste et son col, prend ma paire de lunette de soleil dans la boite a gant. Je mets plus de temps que d'habitude a sortir du véhicule, mais je m'en fou. Je finis par boitillé jusque l'entré que j'ouvre. Personne, soulagement, il et peut être dans la cuisine ou le salon, j'ai encore un espoir de camoufler les dégâts que ce tas de muscles m'as infligé.

« C'est moi, je vais prendre une douche j'arrive »

Je ne m'arrête pas, et me dirige vers les escaliers. Ha les escaliers, je me tiens a la rambarde pour monter a l'étage. Il faut que je passe par la chambre pour trouver des vêtements propres, le piège je l'entend derrière moi qui monte les marches. Fais chier.

« Depuis toujours, je me lave moi ! »

Je dis cela alors qu'il m'avait déjà presque rattraper, putain. Il est rapide le fourbe. Il se tient devant moi, j'aurais put détourner le visage, mais non. J'ai croiser les bras en retenant une grimace et je l'ai fixer dans les yeux. Bien qu'il soit un peu flou vue de mon œil gauche. Il retira mes lunettes, que je me suis empressé de lui reprendre un peu brutalement. Oui, j'étais énervé et fatigué sa rend un peu con.

« Rien je te dis c'est bon laisse tomber retourne faire je sais pas quoi, je vais me débrouiller! »

Je n'aimais pas du tout le voir aussi inquiet rien que pour moi … Sa m'embête car je n'aime pas ne pas le voir sourire sa me fait chier plus que n'importe quoi. Foutu Tyler ! Je retournerais lui refaire le portrait mais pas a la loyale cette fois ! A grand coup de batte de base ball dans la tronche que je lui exploserais en milles morceaux. La rage ne quittait pas mes veines alors que j'entrais dans la salle de bain. Dylan aillant prit le chemin de la chambre. Je commençais par vouloir retiré mon t-shirt se qui finalement me posait quelques difficultés. C'est donc en silence que j'ai accepter son aide, bien que l'état de mon torse n'était pas glorieux, quelques bleus apparaissait déjà a des endroit. Il récupéra un torchon en l'humidifiant, il l'approchait de moi, comme pour me nettoyer. J'avais dans l'esprit de me rebellé, mais sa phrase et son expression m'en coupa l'envie.

« Un petit accrochage … rien de plus. »

J'étais fermé pire qu'une coquille d’huître.Voyant les mains de Dylan tremblaient j'étais mal alaise d'être aussi froid, mais je n'étais vraiment pas d'humeur a discutaillé, sûrement que après une bonne douche cela irait mieux. J'aurais voulu le prendre dans mes bras, le serré contre moi, lui répété encore et encore que je l'aime, qu'il ne devait pas s'en faire pour cela. Mais je ne savais pas vraiment comment m'y prendre.

« Pardon, je … je t'expliquerais plus tard la je veux juste un bon bain. »

D'ailleurs je me suis pencher en grimaçant a peine pour allumer l'eau de la baignoire. Alors que je serrais les dents quand les mains de Dylan toucher mon corps endolorie.

« Tu sais que je vois que tu panique et tu n'as aucune raison de paniquer, je vais bien. » 

Il appelle pas sa aller bien et alors ? Je m'en contre fiche je veux de la paix putain de merde ! Je veux réfléchir a cette situation qui échappe a mon contrôle petit a petit. C'est a cause cet idiot j'aurais du le rayé définitivement de l’échiquier se Tyler. Il ne me fait pas peur, je le battrait comme je l'ai toujours fais a présent. Dylan me parle d'amour … Si seulement. Je sais que ce n'est que de la manipulation de ma part quand il s'en rendra compte l’illusion prendra fin et es sentiments qu'il croit avoir disparation avec. Tout sa a cause de se gros nounours handicapé des sentiments grrrr sa me met en rogne tellement que j'ai envie de tout détruire !

J'étais installer j'avais fermer les yeux alors que Dylan posait un linge humide sur ma tête. Je ne le voyais pas, je tentais de reprendre une respiration moins saccadé car sa me faisait mal aux cotes. Je sentais sa main jouer au dessus de mon sexe, mais je n'étais pas d'humeur pour sa. Le silence me faisait du bien, je veux du silence pour toujours. Je vais devenir sourd, voila ! Mais non, il a ouvert sa bouche. Mon parfum ? What ?! J'ai immédiatement retiré le linge pour me redresser et lancer un regard très noir a Dylan qui lui disait qu'il fallait qu'il s'explique rapidement avant que je me fâche se qu'il fit. Je pense que je n'ai jamais était dans un tel état depuis que je suis avec lui, il n'a sûrement jamais rencontré se Cody et il ne va pas lui plaire. Surtout vu la tournure que prenait sa première phrase d’explication.

Tyler si, Tyler sa … Je vais le buter se Tyler. C'est décider je prend une arme et je vais direct lui exploser la cervelle. D'où il parle de mon parfum ? Et comment il sait que je ne porte pas de gourmette ? Il ne m'a jamais vu, on ne se connaît même pas, d'où il tire toute ces informations ? J'ai serrer les dents et les poings dans l'eau et me suis mordu la langue de façon a le laisser finir son long discourt. Il c'est lever pour vider ces poches je n'avais toujours rien dit, la colère étant a son point le plus haut a l'intérieur de moi, valait mieux ne rien dire. Puis il répondait un peu a ces interrogations tout seul. Il c'est installé avec moi dans la baignoire, c'est étrange, mais a son expression mon visage c'est adouci, il semblait si perdu …

Et la il me balance la chose que je craint le plus au monde … Il l'aime sincèrement sans que cet idiot n'est rien fait, Dylan l'aime d'un amour réel depuis déjà quatre longues années, il ne peut pas l'oublier, je ne fait m 'imicé dans sa vie, mais il retourna avec lui, je vais le perdre … Il va disparaître me laisser seul et je l'aurais mériter sûrement, mais alors pourquoi alors que je sens ces larmes couler dans l'eau les miennes l'accompagne aussi. Pourquoi mon cœur se brise et cette sensation de vide apparaît dans mon corps. Je sais que malgré ce qu'il me dit il ne l'as pas oublier. Mon rêve sera bientôt brisé, c'est comme un pré sentiment. Tyler récupérera Dylan, je ne le veux pas je ferais tout pour que cela ne se produise, mais je ne sais pas pourquoi, je suis a bout de nerfs je craque en silence. Quand il veut fuir dans l'excuse d'aller me chercher des cachets, je ressert mes bras autour de lui et d'une voix qui ne me ressemble pas, une voix plutôt chevrotante, tremblante je lui dit.

« Ne me laisse pas, ne m'abandonne pas s'il te plaît... »

Il ne bouge pas et je ne bouge pas non plus. Je ne veux rien dire, je ne veux pas m'expliquer sur mes gestes, je ne veut pas mentir, pas maintenant j'en suis incapable. J'ai l'impression de retourner en enfance quand je me faisais gronder par mes parents ou quand je me faisais prendre durant mes premiers mensonges. J'ai peur.

« Reste avec moi…. Je t'en supplie »

Je ne le regarde pas,je baisse les yeux et les ferme, je ne vois pas voir sa réaction. Je ne veux pas qu'il me vois, je ne veut pas le voir maintenant. Pourtant je ne le lâche pas. Je voudrais qu'il ne m'ait pas vu ainsi qu'il ne me pose pas toute ces questions. J'y répondrais plus tard, maintenant se n'est pas le moment … Je veux juste sentir son cœur battre contre le miens et oublier le reste, oublier tous mes problèmes.

Il m'aime, encore un mensonge, un si gros mensonge qu'il pense y croire. J'ai créé cette situation, je suis un monstre, j'ai manipuler la personne a qui je tiens le plus au monde, pourquoi suis-je une horrible personne comme sa ? Pourquoi dois-je subir mes conneries qui auront pour conséquence ma perte. Je ressert un peux plus mes dents entaillant le muscle de ma langue, je sens ce goût métallique envahir ma bouche, mais je ne lâche pas. Je commence a tremblé, je ne sais pas pourquoi. J'ai une sorte d’angoisse qui monte en moi, qui commence a me ronger tout doucement, ces moments de bonheurs qui ne sont pas réel, cette vie qui n'est qu'une illusion parfaite, que j'ai organisé et bâti sur un tas de mensonges qui vont m'éclater en pleine figure. J'agrippe un peu plus le corps que je tiens entre mes mains sans intention de le blesser, je veux juste le garder au prés de moi, pour moi. Il me prodigué des gestes rassurant, mais je sentais comme la traîtrise, je ne sais pas se qui m'arrive, je ne me sens pas dans mon état normal, j'ai peur de lui faire du mal, mais en même temps j'en ai envie. Il m'embrasse dans un premier temps je ne répond pas vraiment a son baiser, puis je m'abandonne dans sa passion qui me dévore, il va me tuer, j'ai envie de pleuré, mais les larmes ne coules plus sur mes joues, j'ouvre les yeux tendis que lui retire ces douces lèvres des miennes, plutôt subitement. Je le fixais comme vide de toutes émotions, je cherchais a lire en lui, étrangement je ne voyais pas se que je voulais y trouver, il semblait toujours si innocent, si parfait. Tel un pantin, quand il a passer ces doigts sur mes lèvres, j'ai ouvert la bouche. C'est donc le goût du sang qui l'avait tant rebouté, pourtant il fait parti intégrante de moi, j'ai cette saveur, celle du diable qui coule dans mes veines, comme un poison, j'en suis remplis.

Je lui offre un pauvre sourire quand il me parle de devenir mon infirmière, avec un petit grognement qui ne ressemblait a rien, mais c'était déjà mieux que rien. Il c'est mis nu et j'ai fermer les yeux tout en le remettant correctement sur mon torse, pour le moment il était à moi. Je fixais le plafond ressassant mes actes, quand Dylan sera au courant il me détestera j'en était maintenant certain, mais es-ce que je regrettais se que j'avais fait ? Absolument pas, pas un seul instant, même maintenant je ne regrette d'avoir monter se plan pour l'avoir au prés de moi. Je me coupais dans mes pensées quand je vis le sourire sur le visage de cet idiot, mais pourquoi il sourit ? Il m'embrasse si tendrement que j'ai l'impression de fondre et me remet le linge humide sur la tête. Je fronce les sourcils, y a deux secondes il pleurait et la il sourit bêtement alors que je n'ai même rien dit ou fait pour prouver mon innocence dans cette histoire de gourmette ou de parfum …

« Je t'aime »

Il était tellement sincère, si innocent. Il fut prononcer du bout de mes lèvres et dans un sons presque sourd, mais c'est avec le plus de bonnes volontés que je le lui avait dis. J'étais comme nu pour le première fois, sentimentalement et ça fait étrange. Je m'étais alors endormi sans vraiment comprendre, sans rêve, juste de quoi me reposé avec sa présence. Je fus réveil pour ces mots et ces lèvres sur mon oreille. Puis je senti son corps se ramollir sur le miens, il venait de s'endormir, j'ai alors retiré le linge de mes yeux pour graver son corps dans ma mémoire, car je sais que bientôt je ne pourrais pas avoir se plaisir, Tyler me le volera, il le veut tellement. Mais pourquoi maintenant ?! Il a attendu quatre ans et d'un coup il ouvre les yeux sa me rend si électrique que je n'arrive plus a me rendormir. La douleur est plus intense dans mon corps, il faut que je bouge. C'est comme cela que j'entrepris le périple de sortir de la baignoire sans réveiller Dylan. Je fis du mieux que je le pouvais, serrant les dents quand la douleur me déchiré le corps de part en part et évitant de noyer mon bien aimé. Je réussis cette exploit et ai porter ma princesse jusque notre lit où il serait beaucoup mieux pour dormir. Je l'ai poser délicatement, pris les habits qu'il m'avait préparé, pour ne mettre que la chemise et encore sans la fermé, puis je suis retourner nettoyer la salle de bain rapidement et sans efforts. Devant le miroir j’observai ma carcasse, je n'étais pas beau a voir, extérieurement tout autant qu’intérieurement. J'ai glissé sur le sol de la salle d'eau pour m’étaler de tout mon long, repensant a tout, aux regrets que je devrais avoir mais qui ne sont pas présent et a mes actes répugnants qui ne hanterons jamais dans mes songes. Je suis rester ainsi sur ce sol aussi froid que mon cœur, pendant je ne sais combien de temps avant de me redresser difficilement et revenir dans la chambre où il dormait toujours. Dois-je partir maintenant ? Réduire a néant tout les efforts que j'ai fais jusque présent ? Non. Je resterais et je me battrais pour lui. Je m'installe dans le fauteuil prés du lit et le fixe il bouge un peu, je tente de le réveiller doucement avec ma voix.

« Dylan … Hé babe il faut que tu te réveil. »

Je l'ai bien entendu mis sous la couette pour ne pas qu'il prenne froid dans sa tenue d'Adam.

« Si tu ne te réveil pas tu ne pourras jamais faire le moulage que tu voulais de mon corps »

Son sommeil semblait troublé et c'était de ma faute, je suis la cause de ces cauchemars, je suis maintenant le monstres qui ruine ces nuits, j'en suis certain. Il s'agiter tellement que posé dans le fauteuil je tentais de le réveiller délicatement pour le faire sortir de sa torture délicatement et sans être brusque, j'aurais voulut me collé a lui, mais j'avais peur d’aggravé la situation, qui ne tourne pas en ma faveur. Il avait la tête a l'opposé de moi, mes ces yeux ne me trompent pas,quand il c'est assit surpris par mes mots, je voyais la trace de ces larmes sur ces joues, je voudrais tellement les effacer et revenir en arrière pour le laisser vivre heureux comme il l'entend sans moi, je me sans comme si j'étais finalement devenu un boulet qu'il traîne. Je secoue un peu la tête pour reprendre mes esprits. Ben entendu il s’inquiète encore pour moi, pourtant il ne devrais pas, je ne mérite pas tout cela.

« T'occupe je suis pas en sucre va chercher se que tu as besoin je t'attends »

J'ai sourit affichant un sourire de spectacle qui trompe tout le monde, celui d'acteur qui fait qu'il semble si sincère. Il parti alors comme une furie dans la salle de bain, ceci lui tenais tellement a cœur d'avoir un bout en plastic de moi ? Dois-je lui accordé alors qu'il va vouloir le faire fondre quand il sera la vérité. Es-ce que cela lui causera de la peine plus tard quand il le verra dans son tiroir ? Mais actuellement cela semble lui faire si plaisir, avec tout se que je viens de lui faire enduré, je me laisserais faire pour lui, pour le revoir excité et souriant. Innocent et enfantin comme il est, je ne veut pas qu'il se préoccupe de moi. Il est quand même revenue avec un cachet, pourtant je voulais qu'elle reste, qu'il me fasse sentir ma trahison. Mais il faut croire que je n'avais pas mon mot a dire là dessus. Il m'embrasse en bouchant le nez, je ne peux pas le repoussé et je suis donc obligé d'avaler se qu'il me donne. Malheureusement la douleur qui me fait le plus mal est celle que je ressent à l’intérieur et non celle provoqué par les coups physique.

« Tricheur »

Je tousse un petit peu alors que je lui dis cela. J'ai pencher la tête quand il est aller chercher le cloner dans son tiroir alors que de celui-ci dépassé un magnifique string rouge.

« Jolie la dentelle, tu me l'avais jamais montré celui-là »

Se tient rouge sur ces joues et ces expressions. Il semble si pure. Il se mit à terre pour lire ce qu'il y avait écrit, je n'ai pas bouger, je ne le pouvais pas vraiment en vérité. Il fit quelques allé retour et je l'observé silencieusement faire. Il semblait si concentré que s'en était comique.

« Mais oui t'en fais pas, puis tu ne me ferais pas de mal pas vrai ? »

J'aurais eut envie de rajouter contrairement a moi, toi tu ne pourrais pas me blesser alors que tu m'aime, enfin que tu pense m'aimer. Mais je n'ai rien dit, lâche comme je suis. J'ai écarter les jambes, pour prendre le plaisir qu'il s'appliquait a me donné. Il s'appliquait tant, je ne prenais pas vraiment de plaisir, mais mon sexe ne pouvais que se tendre à ces appels. Il plaça tout se qu'il lui fallait sur moi et il sourit fièrement, je lui renvoya un petit sourire. Il me fit tenir le tube sur ma queue pendant que lui est parti tiré sa petite boite en carton de sous le lit.

« Dylan … Tu n'es pas obligé »

Il me tendis la télécommande de ces jouets, si mon esprits avait était parmi nous il en serait sûrement ravi de pouvoir jouer ainsi avec son corps, de pouvoir torturé son plaisir. Mais je voyais se sentiment de honte dans ces yeux et je voyais la scène d'un autre angle, suis-je si pervers que sa ? Pourtant cette vue me donne tant envie de lui, je serre les dents en l'observant il se donne tant de mal et moi je ne fais jamais rien. On dirais que je suis un idiot qui est perverti une âme si innocente. Mais je veux pas lui montrais le trouble qui m'habite.

« Tu sais que tu es beau ainsi exposé, j'aurais envie de te dévoré tout entier, tu as dis 30 min mais si tu continue je n'en tiendrais pas une de plus, je te veux »

Je lance un sourire luxurieux a ma proie. Je l'observait tantôt dans le miroir tantôt son corps ruisselant de désir, je réglais la télécommande suivent ces mouvements. Je voulais qu'il soit au septième ciel, bien que pour moi, c'était plutôt une immense torture.

« J'aimerais te toucher, faire glissé mes mains sur ton corps, prendre en mains ton sexe et lécher ta peau, venir embrasser ton cou, mordre ton oreille … Si tu savait comme tu es beau, regarde toi dans le miroir et n'es pas honte de ton corps, assume toi comme tu es Dylan O'brien »

Les cachets ? Il met mes paroles sous le coups de drogues douce ? Pourquoi es-ce qu'il ne se méfie pas plus de moi ? Ne voit-il pas la noirceur qui m'entoure, ne ressent-il pas la froideur qui emprisonne mon cœur, le danger qui rôde autour de mon âme ? Face a son ignorance, je n'ai rien dit, je me suis contenté de sourire, un faux sourire comme tous ceux qui sont sur mon visage depuis que je suis naît, l'un de ceux qui veulent dire, ne t'en fait pas je ne vais pas te prendre ton innocence maintenant. Mais ce n'étais pas le moment pour ces idées noirs, non, le démon qui est en moi se régalé de la vue qu'il lui était offerte, bien que frustré par mon incapacité à torturé se petit ange si luxurieux devant mes yeux remplis de désirs malsains.

Dylan, retira son engin de torture de sur mon sexe tendu. Soulagement, bien que cela m'avait fait mal quand il me l'avait retiré pour autant je n'ai rien dit, excité par se qu'il faisait et par ces intentions si pure, je me suis laisser faire serrant le poing gauche et gardant une expression jovial pour lui. Il ne faut pas qu'il sache que la douleur bien que atténué par le cachet reste tout de même présente et rester aussi dure me demande de la concentration, bien que sont corps suffise amplement pour que le sang afflue vers cette partie basse de mon anatomie. Alors qu'il me disait que je n'avais pas besoins d'attendre plus il se lança dans une pipe d'enfer, il me pris même complètement a l’intérieur de sa bouche de quoi me faire perdre le cours de mes pensé, de quoi me faire oublier tout le reste, sentir mon sexe toucher le fond de sa gorge était un moment si exquis, que si je ne savais pas me retenir j'aurais immédiatement jouis. Mon petit acteur porno à moi. Il me tortura un petit moment avec sa langue et ces dents, me faisant gémir, alors que j'accrochais avec mes mains ces cheveux, les maltraitants au rythme de sa bouche sur mon sexe, l'enfonçant parfois un peu plus sans le brusqué.

« Je devrais te remercier de ne pas savoir lire une notice ... »

Je dis cela de façon malicieuse. Alors qu'il retira l'objet de son superbe postérieur , de dos je lui agripper les hanches alors qu'il glissait si lentement sur mon membre, l'aspirant dans cette chaleur qui m'était si familière, me faisant grogner de désir tendis qu'il était si lent et doux avec moi, je voulais que sa aille plus vite, que se soit plus intense, mais pour le moment je lui laisser le contrôle. J'étais tout exciter par ce qu'il me faisait, cela me rendait transpirant de sexe, haletant de plaisir sur sa torture douce et si diabolique. Il prit ma main pour la poser sur son membre que j'avais délaisser, c'est au rythme qu'il m’imposai de la sienne que  j'ai commencer a le toucher. Il avait raison c'était plus intense. La raison, était que je lui laisser le contrôle de ces mouvements et des miens, je le libérais légèrement de mon emprise de maniaque, sans pour autant que cela ne me déstabilise plus, pourtant je n'avais jamais fais se genre de chose avant lui. Puis ces lèvres si brûlantes qui venaient consumé ma peau, cela me brûlait d'un désir si ardent que je ne pouvait m’empêcher de les dévoré a chaque fois qu'elles passaient sur les miennes.

« Je ne veux que toi, je n'ai toujours voulu que toi Dylan »

J'avais dit cette phrase avec tant de vérité et de désirs qu'elle était murmuré comme le diable peux la soufflé à l'une de ces victimes qu'il torture sous le feux ardant des ces flammes de l'enfer. Mais n'en pouvant plus, j'ai embrassé son cou, lécher la base de épaule jusque son oreille, reprenant le pouvoir que j'avais sur son corps, je voulais qu'il jouisse et je voulais jouir moi aussi, bien que douleur et luxure se mélange, plus rien n'avait d'importance que lui en cet instant.

« Lève toi »

C'était un ordre, franc et ferme dit d'une voix dominatrice. J'ai retiré tout ces jouets de nos corps, nous n'avions pas besoins de ces choses, inutile, futile. Il jouira par ma puissance, il jouira non par de l’artificiel, mais bien par du naturel. Je l'ai pousser doucement sur le sol le remettant à quatre patte devant moi, j'ai accroché ces cheveux pour qu'il tourne la tête vers moi, je l'ai alors embrasser avec tant de passions et de désir, j'ai fait glissé ma langue a la recherche de la sienne, je le voulais, comme si j'allais le dévoré, j'ai mis fin a se baiser a bout de souffle.

« Je vais te faire miens, maintenant et tu me regardera dans se miroir, j'ai pointé l'objet sur notre gauche, je veux que tu rejette toute cette honte que tu ressent alors que moi je te désir tant,oublie ta timidité juste pour cette nuit et toutes les autres que nous passerons ensemble »

Je fixais son regard dans le miroir. Je me suis mordu la lèvre pour ne pas jouir immédiatement a cette vue et je me suis alors mis a le prendre sauvagement, faisant claqué mon corps contre le siens. Dans la pièce ne résonnait que le bruit de nos deux corps avide l'un de l'autre. Je murmuré son prénom, j'ai glissé mon corps sur son dos pour que mes lèvres puissent torturé la peau de son cou et que mon bras agrippe son corps et que ma main droite puisse jouet avec son membre tandis que le bras gauche était au sol pour me maintenir en équilibre et ne pas l'écraser. Je n'ai pas tenue très longtemps, mais il faut dire qu'il m'avait déjà bien excité. J'ai jouis dans un dernier coups de reins au fond de sa chaleur qui n'appelait qu'à m'aspirée dans son corps. Je suis resté quelques instant attendant qu'il en finisse a son tour. J'étais épuisé, à bout. J'ai relâcher ma prise sur son corps, et me suis écroulé a côté de lui.

« Putain Dylan… Si tu savais comme tu me rend barge avec tes conneries... »

Je souriais, sincèrement, il venait de me faire tout oublier, je suis redevenu le petit ange, bien que la réalité m'avait aussitôt rattraper, il est mon petit moment de paradis dans cette enfer. J'ai tendue ma main pour prendre la sienne et le serré contre mon torse, prêt de mon cœur.


« Ne doute jamais de l'amour que je te porte mon cœur t'appartient depuis la première fois que je t'ai vue, tu l'as pris en otage et tu le tiens comme prisonnier, ne le maltraite pas je t'en pris. »

Ne fait pas comme moi, ne brise pas les autres, comme je peux le faire avec toi. Déteste toi, mais crois en mon amour, voila se que j'aurais du ajouter a mon petit discours, mais ce n'étais pas le moment, tant qu'il ne sait rien je garderais le secret de notre rencontre amoureuse. Je l'enterrerais au fond d'un trou et j’espère que Tyler n'arrivera jamais à mettre la main dessus … J'ai serrais les dents et fermé les yeux pour reprendre une respiration plus lente et moins saccadé. Pourtant, j'avais un visage un peu plus détendu car je sentais son cœur battre a coté du miens, il m'apaise. Mon dieu que je l'aime.

Ces lèvres sur les miennes c'est toujours une bénédiction pour moi, mais en même temps j'ai un sentiment de culpabilité qui me ronge doucement de l'intérieur, vais-je surmonter cette épreuve ? Quand il est prés de moi je me dis que oui, je vais passé au dessus de ces sentiments qui noircisse mon âme et que je rejoindrais son paradis.

« J 'avoue, je profitais de ton corps pendant ces scènes, c’était pour faire plus vrai. »

Un sourire narquois se dessine sur mon visage alors que je pose l'une de mes mains dans ces cheveux pour les caresser doucement.

« Peut-être parce que je suis plus timide que tu ne le pense »

Ou que j'attendais simplement une excellente raison pour me lancer enfin et avoir du courage, puis il m'as fallut du temps pour que je réfléchisse a mon plan d'attaque aussi … Tyler avais pris les devants, mais je l'ai coiffer au poteau, j'en suis très fière. Je suis et je resterais le meilleur à ce petit jeu entre nous.

« Tu es si adorable »

C'est dis avec un ton taquin, car je prend soins de lui, mais je n'entend pas vraiment en retour, sauf peut être qu'il reste au prés de moi, qu'il ne me laisse pas seul, qu'il me tienne compagnie, qu'il comble le trou dans mon cœur sans pour autant qu'il ne se sente redevable de se que je lui donne, car je l'aime. J’entends son cœur battre alors qu'il pose sa tête prés de la mienne attrapant sa main dans la mienne comme pour le maintenir alors qu'il m'accroche de son autre bras, je ne veux pas bouger je voudrais que cet instant se fige ainsi.

« Tu es ma petite chienne à moi, normal »

Je dis cela en rigolant m'ajoutant à son rire alors qu'il revient déposer ces lèvre sur les miennes, puis il les remontent jusque mon oreilles je grogne un peu remontant une jambe sur lui comme pour le garder contre moi, prisonnier encore et pour toujours.

« Voyeur et pervers ? Pourtant tu n'as fait que regarder deux corps en parfaite harmonie, je ne vois pas le problème, puis arrête d'avoir honte je suis pas si moche que sa »

Dis-je comme si j'étais vexé par ces mots. C'est vrai que sa honte peut porter a confusion, car je ne la comprend pas vraiment, il regarde bien du porno, c'est la même chose après tout si on y pense, jusque là se ne sont pas deux inconnus qu'il matte. Puis je senti de nouveau son membre contre ma cuisse, la situation actuelle m'avait vidé de toute mes forces, limite je ne savais même pas si je pourrais me tenir sur mes deux jambes, alors comment lui faire comprendre qu'il ne fallait pas qu'il réagisse autant a se que je lui avait demander.

« La prochaine fois je filmerais si ce n'est que cela ton problème petit pervers »

Je souris alors qu'il se remit contre moi avec son petit soucis.

« Bébé, va falloir que tu calme tes chaleurs ton mâle et actuellement hors service, sinon tu t'occupe de toi tout seul a mon grand désespoir. »

Bien oui, faut me comprendre, j'aime a le satisfaire, tout le temps n'importe où, mais malgré les cachets qu'il ma fait avaler j'ai mal partout et la fatigue me prend dans ces bras pour me bercer. J'embrasse son front et le ressert contre moi comme pour le protégé du monde extérieur.

« Promis, quand je serais remis je m'occupe de toi, mais la je peux vraiment pas »

Pour que je dise cela ,c'est que j'allais vraiment mal même si je faisais rien paraître. Mais il me connaît alors il sait.

« ouais, j'aime la remuer dans ton trou en chaleur »

Je dis cela malicieusement et bien conscient que cela pourrait le choquer, mais la je ne voulais pas vraiment réfléchir a mes mots, a quoi bon, c'est se que je pense au fond, bien que se ne soit pas si cru, mais j'ai toujours du mal a exprimé se que je ressent vraiment alors je déforme la vérité en blessant parfois les gens que j'aime. Il replace l'une de mes mèche, j'aime bien quand il fait ça, bien que je ne sache pas vraiment expliquer pourquoi.

« Ba va falloir que tu te crée cette assurance, car je te promet que sinon tu vas mourir de honte et je ne pourrais le supporter. »


Je l'ai alors embrasser pendant qu'il se mordait le lèvre, sa me donne tellement envie de le faire moi même, de mordiller sa chaire tendre entre mes dents. Bien que mes paroles venait de ravivait son problème. Faut dire qu'il lui en faut peux. Je souriais bêtement à la situation. Bien qu'il me dise que cela n'avait pas d'importance pour lui que je n’assouvisse pas ces désirs sexuel a chaque fois, pour moi, pour ma fierté cela en as, cela prouve que je suis apte a lui faire du bien en toute situation, a je vous avoue que je me prend un pelle en pleine tronche. Il me surprit en se relevant, mais il voulut me relever, je l'ai alors aider comme je pouvais, pour me retrouver de nouveau dans le lit, c'est vrai que c'est plus confortable que le sol. Dylan me surprendra toujours, cette crevette athlétique. Normalement, c'est moi qui devrais l'embrasser sur le front et prendre soins de lui, je me sens minable de ne rien pouvoir faire.

« De toute façon je peux pas aller bien loin et même si je te dis que ce n'est pas la peine tu vas le alors a quoi bon discuter avec un âne »

Je lui tire la langue car j'avais totalement raison. Il commença a prendre soins de moi et je grogner de temps en temps, non, je n'aimais vraiment pas la situation. Définitivement pas, j'ai l'impression d'être un handicapé, mais a mon grand plaisir pour le torturé un peu je balader mes mains sur son corps frôlant de temps en temps son sexe bien droit devant moi. Un sourire malicieux se dessiner sur mon visage alors que lui semblait si sérieux et appliquer. Alors qu'il allait partir j'ai attraper l'une de ces cuisses pour qu'il tombe un peu sur moi, je l'ai alors embrasser pour le remercier et mis une petite claque sur les fesses quand il est reparti a ces activités de ménage, je pense que je me suis un peu assoupit, car j'ai rouvert d'un coup les yeux quand il c'est de nouveau glissé dans le lit sous la couette prés de moi. Par réflexe j'ai refermer mes bras autour de lui pour le prendre tout contre moi.

« Je ne peux pas te faire cette promesse, car je ne suis pas certain moi même de pouvoir la tenir Dylan … Mais pour toi je vais essayer d'éviter ce genre de situation à partir de maintenant, ok ? »

Puis j'ai fermé les yeux écoutant sa respiration se faire plus douce et me suis endormi paisiblement a ces cotés.